28 janvier 2008

Sept(Seven)


Je l'ai déjà vu il y a longtemps, mais en version originale et jamais du début à la fin. Un très bon film de David Fincher, celui qui est très doué en ce genre de film et capable de révéler aux spectateurs les pensées malsaines du tueur à travers son couper-coller seulement, sans cadavre ni violence. Plein des intrigues contribuées à créer un atmosphère de trouble extrême et la fin à la fois imprévisible et surprenante, il parvient à me maintenir en haleine pendant 2 heures, sans laisser aucun répit, temps mort pour souffler. Côté scénario, même si c'est un polar ou un triller, il se différencie des autres, surtout la façon de maltraitement du killer inspirée des 7 péchés capitaux et la raison pour laquelle le coupable avoue son crime au commissariat. D'ailleurs, l'interprétation des acteurs principaux ainsi que des secondaires est extraordinaire. Une réussite.

27 janvier 2008

Pq certains ex-punks portent-ils des impers?

Hier soir, j'ai feuilleté involontairement le magazine posé au coin du lit que j'avais retiré de la bibliothèque du salon. Une photo de Marilyn Manson a attiré mon attention. Son maquillage et son costume sont toujours si "extravagants" que l'on ne peut pas passer inaperçu. Il s'agissait d'une petite histoire de cette star. Il s'écrivait:"Ils (quelques ex-punks) portent des imperméables en concert pour se protéger d'un public qui a pris la curieuse habitude de cracher sur le groupe en signe d'assentiment."(ELLE du 30 déc. 2002) Peu importe ce qu'il dit est vrai ou faux. c'est vachement marrant de toute façon.
En fait, parmi la musique qui fait mal aux oreilles, celle de MM me plaît le plus. C'est pas tout à fait les bruits sa zik. Par contre, souvent, ça me bouge, ça tonifie mon esprit. Et puis ses vidéos sont également très bien tournées, transmet avec succès le romantisme noir et une ambiance étrange. Son costume, quoi qu'il soit extravagant, est spécial et original.

23 janvier 2008

Go Seigen

Dimanche soir dernier, j'ai passé une nuit blanche pour me presser de préparer les matériels pédagogiques et regarder des films en même temps. Alors, d'abord c'était The Go Master. Evidemment c'est adapté de la biographie d'un joueur de go d'exception, Wu qingyuan, surnommé Go Seigen. D'origine chinoise, il est allé au Japon en 1928 avec sa famille pour maîtriser sa technique de go. Mais au fur et à mesure que la relation Chine-Japon s'aggravait, il sentait de jour en jour embarassé. On voit bien le contrast entre l'agitation du monde extérieur et la paix du monde intérieur de Wu. L'image est super jolie, la couleur et la profondeur de champ donnent au film un sentiment de sérénité qui correspond tout à fait au monde de go. Mais en fait, ce n'est pas toujours aussi tranquil le jeux de go. C'est dommage que le réalisateur n'accentue pas l'exitation, l'angoisse, l'ambition et la déception d'un joueur. Et il parle trop de la croyance religieuse fidèle de Wu, celle qui ne me plaît pas.

20 janvier 2008

Visite du Musée Louvre

Au début, on entendait profiter de ce dimanche pour visiter au moins deux musées, un pour le Louvre et l'autre pour Orsay ou Picasso. Cependant, c'est à peine impossible de tout voir en une journée. Pour éviter le long défilé à l'entrée, on est arrivé 30 minutes après son ouverture. C'est super que l'on puisse voir tant de tableaux connus dans un palais somptueux et colossal. A part ça, la collection est variée et riche, les sculptures et l'exposition archéologique égyptinne sont celles qui m'ont intéressé le plus. C'est vraiment fou de vouloir tout voir. Après 9 heures de marche, les jambes fatigantes, la tête étoudie, le regard vague et l'esprit bien cultivé.

Virée à Paris

Bien courts que soient mes séjours à Paris, en compagnie d'une très bonne guide, je me suis davantage amusé que la dernière fois avec les Chiliens. La Tour Eiffel étincelante qui clignotait dans la nuit, les biscuits et boisson offerts gratuitement pour ceux qui font du patinage devant l'hôtel de ville, les gens qui erraient autour du centre Pampidou, de longues queues devant les cinémas aux Champs-Elyssés, les véhicules qui passaient sous l'Arc de Triomphe, un petit rappeur qui chantait dans notre rame.

A la recherche des fresques de Bruxelles

Par la suite du dernier séjour bref en Belgique, j'ai fait une recherche plus détaillée et ai découvert qu'il me manquait encore beaucoup d'attractions. Par conséquent, cette fois l'arrêt à Bruxelles était tout pour les fresques, le paysage nocturne et quelques sites touristiques. Peur de louper le train, j'ai quitté l'hôtel très tôt et est arrivé à l'avance. Je lisais le magazine de Thalys en vue de me distraire. En couverture c'était la gare d'Anvers. Et ici, je vais faire une pub, si vous passez par Belgique, n'oubliez pas de rendre visite à la Gare d'Anvers-Central, surnommée la "cathédrale du chemin de fer".
J'ai mis en quête des fresques aussitôt que j'ai déposé mes bagages dans la consigne. C'est très intéressant vu que la plupart des touristes l'ignorent. Je me sentais un archéologue tâchant de dévoiler le patrimoine d'un ancien empire. Le soir j'ai fait une petite promenade autour de la Grand'Place et puis pris le métro vers Huysel. Pas de bol, les Serres Royales fermées, la Tour japonaise en restauration. Alors, il fallait que je revienne le lendemain pour le Pavillon chinois.
Il ressort que j'ai déniché plus de 20 fresques à Bruxelles et photographié le Pavillon chinois désert.
Ah oui, une chose. Pour connu que soit le gaufre belge, je suggère plutôt le kebab à Bruxelles. Après l'avoir goûté dans quatres pays (France, Luxembour, Hollande, Belgique), celui de Bruxelles est le plus savoureux.

Rendez-vous avec Feng

C'est lui qui m'a dit le secret du tableau de Monet, même si c'est un secret de polichinelle. D'origine vietnamienne, ayant passé le concours, il est venu en France pour travailler comme conservateur du musée ça fait plus de deux décennies. Notre rencontre s'est arrivé au musée. Il m'a abordé en me demander ma nationalité, après une conversation brève, il m'a pris un rendez-vous la semaine suivante. Il parle aussi chinois, mais avec l'accent hongkonguais. D'ailleurs, il y a 40 ans qu'il n'a pas parlé chinois. Au départ, je m'en suis fait. Mais au fil du temps, j'ai constaté qu'il était un type très sympa et social. Il saluait n'importe quand et n'importe où, dans la rue, dans le café, au marché, dans le restaurant. Il semble qu'il connaît tout le monde. À travers lui, j'ai fait la connaissance d'un Algérien qui s'appelle Salah. Au déjeuner, ils parlaient de la stratégie politique pour les éléctions prochaines. À la rentrée, dans sa voiture, il a sorti un cahier dans lequel s'écrivait les caractères chinoises en me demandant de les prononcer pour lui.

Musée des Beaux Arts de Rouen

En fait, ça fait déjà longtemps. C'est peu après les Toussains, le premier dimanche du mois de décembre. Je suis allé au Musée par temps venteux avec des pluies modérés qui risquerait de casser le paraplui. Je dirai que si je n'avais pas visité le Louvre, celui de Rouen aurait été le meilleur. Les portraits dans la première salle dans laquelle je suis entré étaient impressionnants et puissants. Je ne sais pas ni comment expliquer ni comment décrire les sentiments que ces oeuvres m'ont imposé. Voilà qu'ils pouvaient me capturer, me piétiner et me béer. La collection des diverses écoles l'enrichit. En tant que les chefs-d'oeuvres, celles de Diego Vélasquez et de Claude Monet. Cependant, c'est bien dommage qu'il n'y ait qu'une peinture de Vélasquez. Au 1er étage, il y a un tableau de Monet, baptisé "Rue Saint-Denis, fête du 30 juin 1878", c'est le premier impressionniste que j'ai vu il y a 13 ans. À la première vue, j'ai été stupéfié par sa technique révolutionnaire. Et maintenant j'ai l'occasion d'admirer l'original. Magnifique ! Il a rappelé mes mémoires d'enfance. Il semble que ces séances se déroulaient devant moi. Un conservateur m'a dit que celui à Rouen, sur lequel Monet a écrit "Vive la France" et "Vive la Rép", était le plus joli (l'autre est à Paris). Vélasquez serait mon peintre espagnol préféré.(plus que Pablo Picasso) Encore que son école fasse partie des classiques, ses portraits ainsi que ses techniques spéciales ont le pouvoir de m'attirer. Par exemple un des ses tableaux renommés "Les Ménines". Je m'en souviens encore. Lors de la dernière année à l'université, j'ai choisit cet ouvrage comme le thème de mon rapport. Malgré les notes insatisfaisantes, l'analyse m'a beaucoup plue. De toute façon, ça vaut absolument la peine de le visiter.

19 janvier 2008

Musée Van Gogh

Au contraire du Musée Rijk, de longues files de gens devant la porte du Musée Van Gogh révèlent sa bonne cote. 10 euros pour chacun de ces deux musées. Le premier est réellement nul. Rien à remarquer. J'ai secoué la tête en exprimant cette incroyable banalité. Le dernier renferme de nombreuse oeuvres des contemporains. La critique est peut-être influencée en raison de ma prédilection pour des tableaux de Van Gogh. Néanmoins, à côté de sa grande collection permanente, son exposition temporaire m'a bcp plu de même. Quoique la "technique" des impréssionnistes ne soit pas la plus paufinée, mais sans doute la plus originale de toutes les époques. Avec les pinceaux courts et parfois ondulés, les oeuvres impréssionnistes transmettent toujours davantage de sentiments et accentuent plus facilement les caractères des personnages. C'est génial de pouvoir admirer ces chefs-d'oeuvres de mes propres yeux encore que je n'aie pas vu quelques tableaux renommés : "Terrasse du café le soir" (Musée Kröller Müller, Otterlo) et "La Nuit étoilée" (Musée d'art moderne, New York). À la fin de la visite, j'ai hoché la tête en exprimant cette incroyable excellence.
Le soir, je suis allé faire des courses chez Albert Heijn en profitant de ses prix bas. A la sortie, j'ai perçu tomber des gouttes d'eau. Je pensais d'instinct qu'il pleuvait. Mais j'ai eu tort. C'était la NEIGE!!!! C'est la raison principale pour laquelle j'ai choisi le Nord pour passer les vacances de Noël. J'ai fermé les yeux pour laisser emporter par la joie qui a gonflé mon coeur. Dans l'espoir que la ville soit recouverte de coton blanc le lendemain, je me suis arrêté sur une place afin de regarder la danse du feu par un petit groupe de jeunes. Désespéré, la neige n'a duré qu'un certain temps.

16 janvier 2008

Amsterdam

J'ai terminé l'année 2007 en liesse mais commencé l'année 2008 en colère. C'était vachement un bordel le premier jour du nouvel an. À l'arrivée, j'ai mis en quête de mon hôtel. Cependant, c'était vraiment dur de le trouver à la faveur d'un petit plan dans le portable. Heureusement, j'ai rencontré des francophones qui m'avaient aidé à retrouver la rue. Bien que je ne sois pas d'origine française, la rencontre avec les Français à l'étranger m'apporte autant de joie que celle avec les Taïwanais. Je croyais qu'ils étaient bien surpris qu'un Asiatique les ais abordés en français.
J'ai consacré une demi-heure à la recherche d'un hôtel... fruste. Ce qui pis est : j'habitais avec une "GROSSE" fumeuse coréenne. Celle était en train de faire le tour du monde, toute seule. Son courage est digne d'approbation, surtout quand elle ne parlait que sa langue maternelle. J'étais curieux comment elle ait résolu ces diverse difficultés du voyage : la langue, l'alimentation, le transport, l'hébergement et l'itinéraire, etc.
C'est une ville tout petite, sillonnée par de nombreux canaux bordés par des maisons aux étroites façades, il ne faut qu'un jour pour une promenade pédestre. C'est fascinant de flâner en contemplant le paysage pittoresque le matin. On renifle de temps en temps l'odeur de cannabis, voit les bicyclettes appuyées contre les murs ou des barrières métalliques, ressent la sérénité de la vie, entend la sonnerie intermittente des vélos privilégiés, ceux qui slalomment partout. Amsterdam, c'est une ville riche de caractéristiques.
Virée nocturne dans le quartier rouge. J'ai emprunté une ruelle, étroite et pavée, qui me paraîssait un tunnel abouti à un monde inconnu et mystérieux. Je déambulais dans les rues, lentement, tout en contemplant des vitrines aguicheuses, élairées par des néons rouges, derrière lesquelles se trouvaient des femmes en bikinis (ou sous-vêtements) qui tapent le verre en vue d'attirer l'attention des passants. Les quais bourrés des touristes et des citoyens (on voit aussi des "politieagenten" y mêlaient). Les gens rigolaient, photographiaient (même si'il est interdit) et renseignaient sur les tarifs. À dire vrai, c'est dur de soutenir la tentation, surtout lorque ça devient normal et légal.

11 janvier 2008

Köln

La gare de Cologne, côtoyée du Notre Dame (Dom en allemand) splendide. Absolument la plus belle cathédrale que j'ai vue. L'intérieur comparativement imposant mais banal et la façade ornée de sculptures délicates.
On dit que les Français conduisent follement. Mais les Allemands conduisent beaucoup plus follement qu'eux. D'ailleurs, ils ne cèdent pas aux piétons lors du feu vert, même dans un petit chemin. Et l'habitude (traverser la rue n'importe quand) que j'ai acquise à Rouen a failli me tuer à Cologne.
À cause de mes pauvres capacités linguistiques, j'ai subi de la discrimination du personel de l'AJ et d'une employée de la boulangerie.
Les Chinois sont partout dans le monde. Ils épandent leur influence à travers cette méthode. Allezr zou, les TAÏWANAIS!!!! Mais agir autrement, surtout ne pas fabriquer des produits médiocres.
L'AJ de Cologne, très confortable. Mais le personel désagréable et froid!!!!
Les personnes que j'ai connues à l'hôtel. Simon de Suisse, Manuel de Mexique, Yi Yan d'Hong Kong et Robert d'Angleterre. Yi Yang considère l'unité de la Chine et Taïwan comme la solidarité. À mon avis, on peut être solidaire même sous forme de l'indépendance politique. Penser à l'exemple de l'UE.
La dernière heure de 2007. Sur le pont liant les deux rives, je m'entassais dans la foule. Les gens ivres et fous lançaient partout de PETITS feux d'artifice.
J'ai loupé trois trains. L'arrivée était de 5 heures de retard.

Abre los ojos

La versión original de "Vanilla Sky", la última fue representada por Tom Cruise y Penélope Cruz. César, un galán rico, se enamora en una fiesta de una chica que se llama Sofía. Loco de celos, su ex novia, Nuria, le embarca en su coche y provoca un accidente que deja César vivo pero horriblemente desfigurado. Vimos a continuación que César, enmascarado, explica a un psicólogo la razón por la cuál él mata su querida. Este método hace creír a los espectáculos que el protagonista pierde la chaveta. Sin embargo, al final de la película, César así como nosotros, nos damos cuenta de la verdad : poco después de su deformación, firma un contrato con la compañía Life Extension que le permite vivir sus sueños tras suicidirse.
Un guión bastante original y lleno de intrigas. Me gustaron mucho las películas que me confunden y me hacen pensar.

Début de mon long voyage

Un séjour bref à Luxembourg. Un japonais, avec qui je partageais la chambre, m'a dit qu'il y avait 71 châteaux. Mais, pas de bol, les châteaux au centre ville étaient tous fermés. Le pire est que, durant ces deux jours, la capitale était recouverte d'un brouillard tellement épais que je n'ai rien vu. Et les autres sites touristiques, surtout les bâtiments, n'étaient pas aussi beaux que j'imaginais. Ce qui m'a impressionné : le japonais qui parle très bien français ainsi qu'allemand, un homme de Singapour qui parle chinois avec l'accent pékinois et la cathédrale "chica" et moche.