17 janvier 2009

Au 1er semestre

En dépit de la perte de passion pour l'espagnol de l'Espagne et de la priorité du français dans ma vie, 16 crédits divisés en 2 semestres en échange d'une autre licence m'ont encouragé à reprendre mes études. Je ne regrette pas de ce retour puisque pendant cette période ça m'est arrivé pas mal de choses. J'ai suivi le cursus Master, fait du théâtre, donné des soutients scolairs et des cours de langue étrangère, travaillé dans les divers milieux, sorti la dernière poupée russe, regardé nombreux films et fait des excursions, etc.
A propos du français, celui qui m'a ouvert un autre univers, surtout à travars la lecture. Après la reprise de vie à Taïwan, la lecture et l'écrit réguliers ont contribué au prolongement de mes progrès en français. Depuis son apparition, la cible a été changée, plus aux études. Ça m'a éloigné à pas de loup, élégamment, pas un moindre bruit, si doucement que je ne m'en suis pas rendu compte.
Au départ, c'était de l'amalgame, mais au moins du style innové. Au bout d'un certain temps, ça a été une combinaison parfaite. C'est comme l'eau pour le chocolat. Mieux que le lait, l'eau est un excellent accompagnement pour le chocolat chaud, mais il faut chauffer de l'eau au point d'ébullition afin que ces deux éléments soient complètement unis. Ce processus assure, même lors du refroidissement, une union absolue et la possibilité d'être réchauffé.