31 octobre 2007

Riz frit au pebre/Arroz frito con pebre

Je pense que la préparation du riz frit n'est pas un problème pour les Taïwanais. Je ne rédige que la recette en version française et espagnole du pebre, la sauce plus typique de la Chile.

Pienso que la preparación del arroz frito no es complicada para los taiwaneses. Entonces, no pongo más que la receta del pebre, la salsa más típica de Chile.



Ingrédients/ingredientes :

- 1 tomate/1 tomate
- 1 oignon/1 cebolla
- 1 piment (ou moins)/1 ají (o menos)
- coriandre/cilantro
- huile d'olive/aceite de oliva
- sel, poivre/sal, pimienta
- 1 citron/1 limón

Préparation/preparación :

Hacher la tomate au couteau le plus finement possible mais sans la transformer en purée. Hacher l'oignon et le mettre dans l'eau bouillie. L'égoutter après 5 mins. Piler le piment (attention ils sont plus ou moins forts). Hacher la coriandre.
Tout mélanger - ajouter une cuillère à soupe d'huile d'olive et le jus de citron, assaisonner.

Tajar el tomate con el cuchillo lo más sutilmente posible pero sin transformarlo en puré. Tajar la cebolla y ponerla en el agua hervida. Purgarla después de 5 mins. Machacar el ají (cuidado, son más o menos fuertes). Tajar el cilantro.
Mezclarlo todo - añadirle una cuchara sopa de aceite de oliva y el zumo de limón, sazonar.

Babel

Un commerce d'une cabine enchaîne quatre familles issues de quatre différents pays. L'acheteur marocain est berger, a trois enfants, deux fils et une fille. Au cours d'une paissance, le cadet tire sur un bus par curiosité de la portée efficace de l'arme et blesse involontairement une touriste américaine. Celle-là est alors conduite, en compagnie de son mari, à un petit village pour une thérapie de base. A l'aide des balles, la police trouve le coupable et tue son frère lors d'un combat. A fin d'assurer qu'il ne s'agit pas d'un marché noir, la police tire l'origine de ce fusil et découvre le possésseur original de nationalité japonaise, veuf. Avide d'amour, sa fille sourde-muette choisit de l'échanger contre son corps. Après une longue attente, le secour de la croix rouge arrive. Dans l'hôpital, son époux donne un coup de téléphone à ses deux gosses occupés par une bonne mexicaine. Elle les amène en Mexique en vue de participer au mariage de son fils. A la rentrée, ne supportant plus l'harcèlement des policiers dans le contrôle aux frontières, le conducteur se précipite et les décharge dans le désert. A la fin, la bonne est arrêtée et les enfants sont retrouvés.

29 octobre 2007

La Doublure

Pignon, voiturier d'une palace, voudrait demander la main d'Emilie, qui travaille dans une librairie, mais est refusé sous prétexte qu'elle doive une somme étonante à la banque. Fâché et navré, il sort du restaurant et croise par hasard Levasseur, président d'une entreprise, avec sa maîtresse Elena, une top model. Cette séance est justement saisie par un paparazzi. Sous interrogatoire de son épouse, le milliadaire déclare que le mannequin est la copine de l'homme à côté. En vue de lui faire croire, son avocat trouve le voiturier et le convainc d'habiter avec Elena. Ayant réalisé sa mission, Pignon touche une rétribution lui permettant de régler le prêt d'Emilie et de lui unir sa destinée. À la rentrée chez soi, Elena reçoit une cassette, envoyée par la femme de Levasseur, qui la met au courant de l'intention du milliadaire, et décide de se séparer de lui.

27 octobre 2007

Hors De Prix

Irène, une jeune jolie femme qui mène sa vie à l'aide de son charme extraordinaire en séduisant les riches, va fêter son anniversaire en compagnie de Jacques dans une palace somptueuse. Mais cette nuit-là, son "grand oncle" est ivre mort, afin de se distraire, elle va prendre un verre dans le bar hôtelier, là, elle rencontre un chasseur, Jean, et a une relation sexuelle avec lui. Un an plus tard, elle revient et passe la nuit avec lui qui, cette fois, se fait passer pour milliadaire. Cependant, Jacques le découvre et quitte Irène. Ayant perdu ses sources financières, elle se presse de chercher un autre mec. Ne supportant pas le harcèlement de Jean, elle accepte de sortir avec lui. À cause de dépenses excessives, leur rapport ne dure qu'un jour. N'ayant pas de moyens pour payement d'hôtel, il est sauvé alors par une milliadaire âgée. Bien qu'il profite de sa richesse, il sort souvent à la dérobée avec Irène, qui réussit à chasser sa proie. Malheureusement, ses comportements de cocufier sont encore une fois révélés. Jean vend donc sa montre précieuse pour qu'elle puisse continuer à y habiter. Le soir, dans un cocktail, elle voit de nouveau Jacques accompagné par une autre nana. Dans l'espoir de revenir aux côtés de lui, elle demande l'aide à Jean à draguer la demoiselle de compagnie en lui faisant croire qu'il est prince. À la vue de la relation entre Jean et la femme, Irène rend compte de son amour pour Jean et décide de tout abandonner pour prendre le large avec lui.

26 octobre 2007

Solo para tí

A partir de hoy, aprovecho de una semana de vacaciones, pero no tengo ningún panorama. Algunos de mis compañeros de habitación van a visitar París, tal vez iré con ellos. Durante los primeros días de mi llegada, con el objeto de ahorrar lo más posible, no quería más que quedarme en Rouen. Sin embargo, en consideración a esta rara oportunidad, cambié mis ideas. Puesto que estoy ahora en Europa, debo viajar lo más posible, probar los alimentos locales y experimentar la vida a la francesa. Viajaré por toda la Europa. Espero tu compañía en República Checa.

23 octobre 2007

Les grands plaisirs

  1. Me lever le premier, faire un sandwich jambon beurre avec une tasse de lait et le goûter paisiblement dans un salon dont la fenêtre donne sur l'est, à travers de laquelle pénètre le rayon lumineux. Écouter soigneusement le bruit produit par la croûte dure.
  2. Prendre plaisir à me perdre dans les ruelles bordées de maisons à colombages.
  3. Voir un film qui m'émouvoit plus que la première fois.
  4. Trois heures successive de conversation avec une femme. Au lieu de me fatiguer, ça imprime dans ma tête à jamais.
  5. Découvrir d'autres plaisirs en lisant des romans de Philippe Delerm.
  6. Dépenser sans considération du budget.
  7. Dénicher un mot rare mais pratique.
  8. Une bonne présentation dans un jeu de basketball ou de billard.
  9. Trouver mon grand A.
  10. Appris que je ne suis pas tout seul.
  11. Ne rien faire.

Vuelta de mierda

Ayant parlé avec Carlos du billard la veille au soir, j'ai trouvé donc certaines salles sur le reseau pour l'inviter à y jouer. Aujourd'hui après-midi, on est arrivé tout d'abord à notre destination originale, mais malheureusement, c'était pour la vente des accessoires billard. À la faveur de l'indication du patron, on a acquis les repères de deux salles. La première était tout près de Billard Plus Normandie, mais ne conformant pas à l'horaire montré sur la façade, elle était fermée. L'autre était très très très loins, sur le passage duquel on a rencontré un bar permis de jouer au billard. 2 euros et nécessaire de consommer. J'ai commandé un café qui était très petit et amer. Le patron était impatient, pas de sourire. Au fond du bar, voilà la table de format pour les enfants et les queues de longueur courte. Heureusement, c'était tout petit, alors que l'on n'avait qu'un espace étroit pour jouer. Dépourvu de craies, tous les accessoires étaient de qualité grossière. Le pire était que 2 euros pour UNE fois. Puta madre ! Bien égorgés et expulsés à la fin en raison de fermeture du bar. Ensuite, ayant marché une longue route, on a déniché la salle qui n'était non plus ouverte. Merde ! Étant déjà écrus, on a rentré en transport commun. La première fois. Bien que l'excurssion ne soit pas du tout intéressante, j'ai au moins beaucoup pratiqué mon espagnol avec Carlos en parlant des aliments, des goûts, des langues et des sports, etc.

21 octobre 2007

"Vas a ser muy chileno"

Des coups d'affilée à ma porte, c'était Carlos. " ¿Vas a cocinar? " a-t-il demandé. Il a sorti un pot en m'expliquant les processus de cuire du riz. Puis je l'a accompagné au salon où s'asseyait son "amigo" de Chile. Ils ont commençaient à causer tant rapidement que je n'avais guère occasion de l'intervenir. Par gentillesse, ils se sont arrêtés un peu et m'ont demandé si j'avais compris ce qu'ils avaient dit. Bien qu'ils n'aient pas ralenti, mais on a dès lors des conversations, à l'aide desquelles, j'ai appris "bocu" d'expressions intéressantes de Chile et d'Espagne comme "aquá", "gringo cabrón", "huevón" et "panorama". Daniel a feuilleté les Pages Jaunes en quête d'un resto chilien. Après un coup de téléphone et une recherche sur la carte, ils m'ont invité d'aller au centre de la ville. Je l'ai acceptée avec volonté puisque je voulais essayer les mets de Chile. Ayant marché une longue route, on est arrivés à "Peña". Ils ont jeté un regard circulaire sur le décor de style chilien. Tout est concernant les harnais : ue fouet, une paire des éperons et des "chupallas" (chapeau de paille), etc. J'ai demandé à Carlos quel est le plat plus typique de Chile, "Ésto, Pastel de Choclo", a-t-il répondu. Mais j'ai commandé des Empanadas comme eux parce que c'était moins coûteux. Après un certain temps, est vunue une serveuse chilienne de l'embonpoint mais jolie avec des lunettes et une queue de cheval. Daniel m'a dit les noms des plats : sopaipillas (masa con pebre) et empanadas. Les "hipano-hablantes" sont des pipelettes, quand ils commencent à parler, ils parlent sans arrêt, surtout lors qu'ils se rencontrent à l'étranger. "Empanadas", de forme d'un grand ravioli, était en fait une "masa" farcie avec le "pebre". C'était un peu trop gras, mais avec la sauce "pebre", excellant ! Étant rentré chez nous, nous parlions du chinois, des caractères, des symboles et de sa composition. Ce soir, j'étais très chilien.

20 octobre 2007

Match de rugby devant IRISH PUB

Un projet interrompu par un coup de télé- phone de la part de Justine, au lieu de faire la cuisine avec Carlos, je suis descendu au galop au lycée J. d'Arc pour l'acceuil des asssistants étrangers. Cepen- dant, celui-là serait bientôt fini. On m'a fait les présentations et, à la fin de l'acceuil, je suis allé avec les assitantes à leur logement en bas. Elles m'ont invité à boire un verre à 8h30 à IRISH PUB qui se trouvait en face de l'église St Ouen. Ne voulant pas redescendre, je suis resté dans la salle à manger en barvardant avec une anglaise pendant la période blanche. Juste avant l'heure décidé, les deux allemandes ont déclaré leur absence en raison de fatigue.
En compagnie de Rachel, nous avons arrivés. Devant le pub rassemblaient les gens venus dans le but de regarder la Coupe du monde de rugby. Rachel m'ont présenté les autres assitants. Peu après sont venus un homme et une femme d'origine chinoise. Née au Canada, elle travaille comme assistante d'anglais avec une autre de chinois, Shu Yu de Taiwan. En chinois mais avec un accent de Kuangdong, elle m'a dit qu'elle n'a pas encore habitué à la vie en France. Je l'accompagnais un peu et me suis faufillé de nouveau dans la foule danse. L'ambiance se diversifiait en fonction de la présentation des Bleus. À cause de l'ennuie et de la fumée qui me gênait, je m'en suis allé et, après 30 mins de l'attente, ai pris le dernier bus à 10h et quart.

18 octobre 2007

Un projet retardé par le temps de pluie

Un projet qui devrait été réalisé hier, retardé par temps de pluie. Voilà il se figure dans la liste aujourd'hui. Tout d'abord, je suis allé à la salle des profs afin de prendre les lettre envoyées par HSBC et puis descendu à pieds. Après un petit détour, passant l'église St Maclou, j'ss arrivé au centre commercial situé devant le Marché. Tout en n'ayant rien acheté, j'avais déjà des idées pour les souvenirs de mes intimes. J'ai pris la ruelle que je ne l'ai jamais prise. A la place de la Cathédrale, je me suis arrêté pour photographier. A quelques pas, j'ai vu deux BAZARS DU BIZARRE, dans lequel se vendaient les mangas ainsi que les figurines japonaises et américaines. Ensuite l'église Ste J. d'Arc. Malgré son forme original, l'intérieur n'était pas aussi magnifique que prévu. À 10h, je me suis dirigé vers la banque HSBC en vue de retirer ma carte bleue. Avec ça, je me sentais plus français. J'ai traversé le Square Verdrel jusqu'au Musée des Beaux Arts. Sur la plaque à gauche de la façade s'écrivait "le premier dimanche de chaque mois, entrée gratuite" J'ai décidé d'y revenir le 4 novembre. A côté duquel, se trouvait le Musée de la Céramique. J'ai visité un peu, mais il n'y avait rien à voir.


La prochaine station : Le Musée Flaubert. J'ai sorti la carte de Rouen et l'ai dépliée. À midi et 20, devant la porte du Musée qui était fermé de midi à 2h de relevée. J'ai tourné vers la direction de la Préfecture, devant laquelle se stationnaient les voitures de manifestation. Dans la rue, à l'aide de la baguette à la main des piétons, je savais qu'il y avait une boulangerie tout près d'ici. Comme la prévision et j'ai acheté un petit sandwich jambon beurre, sur laquelle je ne formais pas de grandes espérances, après l'espérience du vendredi dernier. Je l'ai goûté sur le banc à côté du gazon de la Préfecture. Surprise, c'était savoureux encore que le prix soit un peu coûteux. Pendant que je dévorais le déjeuner, un homme assis à côté de moi m'a dit : " C'est paisible de manger ici ?" Je lui ai sourit en guise de OUI. Il a repris sa parole peu après. Il avait un r.d.v. avec quelqu'un, mais peur que les manifestant rassemblés devant le bâtiment sèment des problèmes. En fait, je ne comprenais pas très bien ce qu'il disait à cause de sa prononciation vague. A 2h, le Musée était rouvert. Dans la maison natale de Flaubert, au lieu de se garnir des objets personnels de Flaubert, il y avait bcp de spécimens des foetus et des oiseaux, des livres sur medecine et de l'anatomie. Au r.d.c, se plaçaient des fauteuils dentaires et des équipement pour l'avortement de 19e siècle. 3 euros pour un ticket et défense de photographier. Désespéré.

17 octobre 2007

Mon avenir

J'adore rêver. Si j'était français, si j'était joueur de gymnastique, si j'était le plus intelligent du monde entier, si j'était un milliadaire, si j'était bavard....... Avant la fin de mois, je compte la somme que je dépenserai, avant d'obtenir le salaire, je calcule le montant que j'épagenrai, avant d'être prof, je réfléchits le traitement le plus adepte pour les enfants, avant de mourir, j'immite la scéance à l'agonie, avant d'avoir une ptite amie, j'écrits des lettres de rupture.

Si j'avais la compétence de prévoir le futur. Je rentrerai à Taiwan au mois de juin 2008, reprendrai mes études au mois de septembre, les acheverai au mois de mai 2009, ferai mon service militaire au mois de juillet, le terminerai au mois de juillet 2010, repartirai pour la France au mois d'août 2011, j'aurai 26 ans, finirai mes études au mois d'août 2018, j'aurai 33 ans. Ouffff, et je commencerai ma vie professionnelle. Mais c'est inutile d'en parler car ma vie ne déroulera pas comme la prévision, même si les événements qui se passeront dans un an. Avant l'arrivée en France, je n'imagine jamais que j'ai l'occasion d'y venir. Pourtant, ce sont des surprises qui assaisonnent la vie.

Prénom en chinois

À l'arrivée à Rouen, plusieurs personnes m'ont demandé le prénom. "Je m'appelle Albert." Ça entame toujours ma présentation en face des étrangers. Et souvent, les étrangers froncent les sourcils en me posant la question : "C'est votre prénom en chinois ?" Ils sont curieux de la raison pour laquelle je n'utilise pas mon prénom en chinois. Ce n'est que parce que le prénom en chinois est difficile à prononcer ? Les prénoms des Allemands sont aussi difficile à prononcer. D'accord. Ils utilisent au moins les alphabets presque identiques que les Anglais ou les Français. Et ceux des Russe ? Les alphabets russes sont plus peu identiques que ceux des Anglais. Mais ils sont au moins européens. Et les japonais ? Ils sont asiatiques, ils se servent des alphabets totalement différents que ceux des européens ou les américains.
Lors de la première rencontre, le prénom représente votre langue, votre culture, votre famille. Si vous choisissez de les abandonner, vous avez perdu le respect de l'autrui. La prochaine fois quand quelqu'un vous demande le prénom, disez le prénom en chinois.

13 octobre 2007

Surtout, ne rien faire

À l'exception de participer aux cours de deux profs, j'n'ai rien à faire. Je suis las de me promener dans la ville, de faire des courses à Champion, de saluer avec des compagnons, de préparer le même plat et du va-et-vient entre Flaubert et Jeanne d'Arc.
Étant entré dans la chambre fruste couleur vanille, je m'assois et allume mon ordinateur portable. Je navigue les blogs des amis, espérant découvrir ses traces. Puisque je suis à présent en France, il me faut être plus actif. Mais, je voudrais rien faire. Il me faut agir comme Corina qui est très bavarde. Cette caractéristique lui permet de connaître plus facilement aux nouveaux amis. Mais moi, embarrassé dans la communication interpersonnelle. Je croyais que je serai plus ouvert dès l'arrivée à un pay lointain. Mais non. Il me faut certainement une énorme évolution.
Demain, le 15 octobre, c'est le premier jour de mon travail. D'après mon projet original, je serais au Musée ou à la cathédrale. Bah, laisse béton.

10 octobre 2007

Un sentimiento de SOLEDAD

Resido ahora en esta ciudad, he sacado muchas fotos, comunico a los habitantes en francés aunque no hablo bien, he dado unas vueltas en el centro, como los alimentos locales, sin embargo, todavía no he podido entrar en su mundo, estoy marginado de aquí. No importa, es aún al pricipio, me adaptaré muy pronto a la nueva vida.
Creía que la vida en Europa es la que busco. No! He vivido en Taiwán hace 22 años, no es fácil despegarme de un ambiente conocido.
Espero siempre su apariencia. Ne se aparece.