16 septembre 2007

J'm'ss fait coupé les cheveux

Au fur et à mesure que s'approche la rentrée scolaire, comme ça me prend du temps démêler les cheveux à la fois danses et hirsutes, je me ss fait les coupé, en compagnie de ma p'tite amie allant au cours de français qu'elle avait manqué depuis une semaine. Ce fait a figuré sur ma liste de "CHOSES A REALISER" d'aujourd'8, si je l'avais tardé, j'aurais une tête de con et serais la cible de la dérision.
A la suite de l'incident de ce matin, je m'abaisserai à son esclave pour un certain temps, à l'exception des problèmes que je lui avais causés en raison de déménagement. Malgré ça, j'étais encore très avare de paroles pendant le trajet.

Je déscendit le métro, pris l'escalator, passa la barrière, aperçus une blonde, sort sur-le-champs mon portable caméra. Mon regard fixais sur elle et la suivais jusqu'à ce qu'elle ait disparu de mes yeux. La bouche bée, le visage égaré, repassaient ds ma tête sa silouhette svelte et slim ainsi que ses cheveux dorés dansant dans le vent. C'est ça, la fugitive beauté, décrite auparavant par Baudelaire. "La douceur qui facine et le plaisir qui tue. (...) Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais." J'étais néanmoins plus heureux que Baudelaire, j'ai attrapé au moins son profil en disposant de mon portable.

Aller chez coiffeur est une torture pour les myopes, surtout ceux qui n'habituent pas aux lentilles de contact. Le résultat sort lors que tout est fini. À l'intervalle de ce processus, dévisageant le reflet vague de miroir, ils n'ont pas d'occasion de prévoir la suite. Le pire est que si c'est une coiffeuse charmante. La prérogative arrive quand on s'est privé de la compétence visuelle, les autres sens deviennent les plus sensibles ke jamais. En particulier au moment où une jeune femme lave tes brousailles, effleure doucement ta nuque, murmure à tes oreilles.

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